mardi 13 novembre 2012

Cours de cuisine Marocaine



La cuisine marocaine traditionnelle, riche en saveur, est un univers féminin dans lequel les recettes se transmettent de mère en fille. Les salades marocaines, tagines, couscous et bien d’autres spécialités vous seront proposés lors de votre cours.

Vous pourrez apprendre à cuisiner au Maroc avec le Riad Palazzo dans la magnifique ville d’Essaouira. Le Riad est une ancienne bâtisse appartenant autrefois au Sultan d’Essaouira. Sublimement rénovée, la maison de charme est chargée d’histoire et d’objets d’Arts. Ainsi, vous cuisinerez dans un lieu atypique et somptueux.

Vous serez charmé par l’architecture ainsi que par les meubles en noyer d’époque. Les 2 patios du Riad sont reliés à certaines chambres par les escaliers de pierres.

Le Palazzo dispose de 15 chambres et suite, d’une capacité allant de 2 à 6 personnes, qui dispose d’une décoration unique. Au niveau supérieur, se tient une splendide terrasse panoramique ainsi qu’un solarium pour passer un moment de détente.

Vous pourrez faire confiance au personnel du Riad pour organiser vos activités et loisirs pour vous détendre et découvrir la ville d’Essaouira et sa région. Vous serez également tenus informé des actualités de la ville et des nombreuses manifestations culturelles et artistiques.

Pour réserver : http://www.palazzodesdemona.com/


mercredi 15 septembre 2010

Recette marocaine : MAKROUT ou Meqrout ramadan

Ingrédients :

3 bols de semoule moyenne
1 bol de beurre fondu
4 c. à s. de sucre en poudre
400 g de pâte de datte
2 c. à s. d'eau de fleur d'oranger
1 pincée de sel
1 c. à c. de cannelle
Huile pour friture
100 g de miel
 
Dans un grand saladier mettre la semoule, le sel, le sucre et le beurre bien travailler en écrasant l'ensemble entre les mains. Ajouter de l'eau tiède et retravailler pour avoir une pâte lisse et homogène. Laisser reposer quelques instants. Dans un autre saladier, mélanger la pâte de dattes, la cannelle et l'eau de fleur d'oranger. Faire des petits rouleaux, les fendre au milieu et introduire dans la fente des petits bâtonnets de pâte de dattes. Souder l'ouverture du rouleaux et le lisser. Découper en losange et faire frire dans l'huile bouillante. Dorer les deux faces et plonger dans le miel tiède. Egoutter et conserver hermétiquement dans une boîte, une fois les makrouts refroidis.




Source : http://www.recette-maroc.com/

Recette marocaine : Le tagine de fraise

Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

Résumé : "Goûtez-moi ça" est à Marrakech pour vous faire découvrir la cuisine marocaine. Rachid Agouray, chef de la Mamounia, nous propose sa recette du tagine de fraises.



Tagine de fraises pour 4 personnes

300 g de fraises
200 g de tomates maasla (confiture)
150 g de sorbet citron
20 g de gingembre frais
50 g de beurre doux
50 g de sucre semoule

Préparation

Dans une poêle faire revenir légèrement les fraises au beurre et parsemer de sucre.

Dresser la confiture au fond du tagine ou le plat. Entourer avec les fraises puis disposer le sorbet en quenelle sur la confiture de tomate et une fine julienne de gingembre frais au dessus.
 
Source : http://videos.tf1.fr/

jeudi 29 avril 2010

Recette marocaine : La gastronomie marocaine mise à l'honneur


Cette semaine, le nuage de cendres se dissipait lentement de la une des journaux. D'autres sujets ont pu réapparaître (heureuse nouvelle pour la RAM et compagnie..): la gastronomie marocaine a été célébrée à l'international. Eric Gerets est doublement apprécié – et cela en plus hauts lieux. Un consul marocain en France part à la rencontre des MRE. Et un économiste peint sa vision de l'avenir euro-méditerranéen.
« Dernière possibilité de goûter aux saveurs marocaines » intitulait hier le quotidien en ligne diariodeavisos.com de Santa Cruz de Tenerife un article sur les journées marocaines de l'artisanat et de la gastronomie sur l'archipel. Jusqu'à dimanche, 25 avril, la chef marocaine Khadija Bensdira, qui dirige depuis plus de 30 ans les Cuisines de l'Ecole hotelière et Touristique de Touarga à Rabat, et son collègue Iñaki González, chef à l'Hotel-Ecole Santa Cruz, collaborent pour proposer de la cuisine traditionnelle marocaine à la touche des Canaries. Chose peu commune (à l'étranger), cette cuisine sera notamment servie avec des vins marocains, de la région de Mèknes.
Mais pas uniquement les Canaries s'intéressent à l'art culinaire marocain cette semaine. Aux Etats-Unis, le « Travel Channel » a consacré un spécial à la gastronomie marocaine dans le cadre de son show culinaire phare « Bizarre Foods » (Cuisine insolite). Au menu du chef, Andrew Zimmern, la pastilla aux pigeons et le Méchoui. « La gastronomie marocaine est l'une des cuisines les plus réputées d'Afrique du Nord et de la région du Moyen-Orient et peu de gastronomies peuvent s'enorgueillir d'un tel statut », expliquait le chef. Beau compliment!
Rapprocher le Maroc, mais aux MRE cette fois-ci, tel était la mission du consul du Maroc de l'ouest français, en déplacement à Nantes cette semaine. Ahmed el Khdar venait à la rencontre de la communauté marocaine à Nantes, pour se présenter – il est en poste à Rennes depuis peu seulement – mais aussi pour « transmettre des informations importantes », comme il l'indiquait au quotidien Ouest France. Première info: « Depuis le 1 er avril, nous ne délivrons que des passeports biométriques individuels. Il faut d'abord avoir une carte d'identité électronique. Tous ces documents ne peuvent être obtenus qu'au consulat, à Rennes. Le délai d'obtention est de 15 à 20 jours. » A courte notice, le consul informait aussi les bourses pour étudiants MRE : date de depos des dossiers: avant le 25 avril. Puis il lançait un appel à candidatures pointu, « pour la création d'associations qui aideront les femmes isolées ou les retraités démunis dans leurs démarches administratives. » Une 'délocalisation' du travail des consulats vers les associations?
Doléances des Marocains de Nantes: création d'une antenne consulaire à Nantes, création d'un ferry de Saint-Nazaire au Maroc, une agence de la RAM à Nantes.. Le consul fera « tout ce que je pourrai pour les accompagner dans la réalisation de ces souhaits ».
Une autre rencontre, au plus haut niveau, a été annoncée cette semaine sur Marocfootball.info. SM Mohamed VI aurait invité le (très probable) futur entraineur de l'équipe nationale de foot marocaine, le Belge Eric Gerets, à un entretien personnel. Cela devrait permettre à Gerets d'apprécier autant les respect que les attentes que l'on voue à l'entraîneur des Lions de l'Atlas dans le Royaume.
Il pouvait déjà s'assurer le soutien d'un de ses futurs joueurs, et pas du moindre. L'ancien Soulier d'ébène et actuel champion de Belgique avec l'ASC Anderlecht, Mbark Boussoufa, indiquait vendredi au quotidien Het Nieuwsblad: « Gerets serait parfait en tant qu'entraîneur national marocain. Il est synonyme de discipline, de motivation, un bon football et il a une réputation internationale. » Une « nouvelle ère » débuterait dans le football marocain, autant au niveau des joueurs que dans l'administration, et Gerets pourrait en devenir une figure prééminente. « J’ai hâte de travailler avec lui. », poursuivait le milieu offensif. Pour un avenir marqué de succès marocains.
L'avenir marocain et du pourtour de la Méditerranée plus généralement était le sujet d'une chronique publiée dans les Echos cette semaine par Jean-Louis Guigou, délégué général de l'Institut de Prospective Economique du Monde Méditerranéen (IPEMED). Cet avenir passerait par un « protectionnisme euroméditerrannéen », selon l'auteur. Les pays du nord en phase de désindustrialisation et de baisses de croissance, victimes du dumping social de pays émergents, doivent s'ouvrir davantage au sud méditerranéen. Ils doivent comprendre que « tout ce qui manque aux pays européens, la jeunesse, les marchés, l'énergie, ils le trouvent au Sud et, réciproquement, tout ce qui manque aux pays du Sud et de l'Est, la gouvernance politique, les brevets, ils le trouvent au Nord. »
Les délocalisations dans le Maghreb ne sont, selon Guigou, pas un risque pour des pays comme la France, mais leur avenir. D'ailleurs, l'Allemagne en serait un exemple. Beaucoup d'entreprises allemandes ont saisi l'opportunité de l'élargissement de l'UE pour délocaliser dans les pays de l'Est – et le pays ne s'en porterait pas plus mal, préconise M. Guigou.
Concernant la Méditerranée, l'ouverture devrait cependant se faire sous une condition. « L'Union pour la Méditerranée ne doit pas être une zone de libre-échange comme le propose le président Barroso ; ce doit être une région de politiques publiques communes, de protections sociale et environnementale élevées et non pas une simple opportunité conjoncturelle d'exploiter les bas salaires ou de capter les hydrocarbures du Sud. »
Voilà ce qui rend la chose plus compliquée. Des politiques publiques communes semblent très loin de la réalité dans cet espace méditerranéen où l'UE n'accumule pour le moment que les accords bilatéraux avec chaque pays, et où l'Union du Maghreb Arabe (UMA) est le meilleur exemple du manque de coopération régionale au sud de la Méditerranée. Et, d'autre part, le « protectionnisme euroméditerrannéen » impliquerait-il que le Maroc et les pays du Maghreb devraient, pour leur part, se fermer davantage à leurs voisins sub-sahariens? C'est un avenir intéressant, mais très axé sur les besoins socio-économiques du nord de la Méditerranée que peint M. Guigou.

dimanche 25 avril 2010

Recette marocaine - Tajine au citron confit, boulgour aux raisins


Niveau de difficulté : Moyen
Temps de cuisson : 50 minutes
Temps de préparation : 25 minutes
400 kcal/pers

Ingrédients pour 4 personnes:


- 450g d’épaule d’agneau dégraissée
- 2 oignons
- 1 gousse d’ail
- 2 carottes
- 1 citron confit
- 1 pincée de graines de cumin
- 1 capsule de cardamome
- 160g de boulghour
- 40 g de raisins blonds
- 2 cuill. à soupe d’huile d’olive
- Sel, poivre

Préparation de la recette

Couper l'épaule d'agneau en cubes de 4x4 cm. Peler les oignons et l'ail, puis les hacher. Peler lescarottes puis la couper en dés.

Faire chauffer une cuillerée d'huile d'olive dans un plat à tajine. Ajouter les morceaux d'agneau.  Faire revenir à feu vif pendant 10 min en remuant. Mettre la viande sur une assiette, jeter le gras de cuisson et rincer le plat.

Mettre le plat à tajine à nouveau sur le feu. Ajouter une cuillerée d'huile d'olive, les oignons, l'ail et lacarotte.

Laisser fondre à feu doux pendant 5 min en remuant. Ajouter le cumin, le citron confit, la cardamome,du sel et du poivre. Couvrir et laisser mijoter 30 min à feu doux.

Faire cuire le boulghour pendant 10 min. L'égoutter, saler, poivrer et ajouter les raisinsServir chaud, séparément.

Infos diététiques

L'épaule n'est pas un morceau gras mais éliminer tout le gras visible, c'est encore mieux. On peut aussi choisir du gigot ou des noisettes d'agneau, également maigres. L'agneau est une viande riche en protéines et bien pourvue en fer.

Geste santé : ne pas oublier de rincer la cocotte après avoir fait rissoler la viande.

Pour alléger et donner du goût : charger le plat en épices, et en légumes aromatiques. On gagne aussi en digestibilité.

Le boulghour complet va apporter des glucides lents, des fibres, des minéraux (magnésium…). Pas de beurre, mais des raisins (apport en glucides et fibres)

La cuisson à l'étouffée : c'est un bon mode de cuisson pour cuisiner léger. Conserve les minéraux (mais pas les vitamines), et garde le goût des aliments avec un apport en matières grasses très faible.

Source : http://www.anyresa.com

jeudi 15 avril 2010

Recette de cuisine marocaine, histoire de famille


Méchoui, pastilla, tajine, couscous... la cuisine marocaine est affaire de patience et de tradition. Depuis des générations, les recettes sont transmises de mère en fille, un héritage qui résiste tant bien que mal à la popularité grandissante de la malbouffe et de la cocotte minute.
Pour mon premier repas familial à Casablanca, les cuisinières de la mère de Khadija avaient préparé un tajine d'agneau aux figues, pruneaux, abricots et fruits secs. La viande, la sauce à l'huile d'argan, les fruits, les épices, tout était savoureux. Riche aussi, ce mélange de viande salée et de fruits. Et les odeurs du plat étaient enivrantes. Un voyage planant pour les papilles.Il n'y avait pas de légumes avec le tajine. Dans la tradition, les légumes étaient considérés comme des aliments «communs» réservés aux repas de famille sans invités. Quand il y a des hôtes, on met en quelque sorte les petits plats dans les grands et on sert de la viande. La tradition n'a pas changé, bien que l'on trouve de nombreuses recettes de tajines préparés avec des légumes.
Après le tajine, une des cuisinières a apporté un énorme couscous aux haricots et aux petites courgettes. «Le couscous est le plat du vendredi que l'on mange après la prière», m'a expliqué mon amie.
Les recettes du pays
Latifa Benanni-Smires a été la première Marocaine à écrire un livre de recettes de son pays. Ce livre, La cuisine marocaine, lancé en 1970, a été réédité 2001. Elle défend la bonne cuisine familiale.
«J'étais nulle en cuisine, dit-elle. J'ai donc voulu mettre par écrit les recettes de ma mère, de ma belle-mère et d'autres que l'on m'avait données. Je me suis mise à la place d'une débutante. Je les ai toutes essayées! J'en ai jeté, des plats, je vous jure! On m'a même donné des recettes immangeables, comme une recette de poisson au chocolat!»
Mme Benanni-Smires dit que les recettes marocaines varient peu d'une région à l'autre. Y a-t-il plusieurs cuisines marocaines ? «Il y a la mauvaise et la bonne, répond-elle. La cuisine marocaine ne supporte pas la médiocrité.»
Quel est, selon elle, le plat emblématique marocain? «Le méchoui, la pastilla et le tajine de poulet au citron confit.» La cuisine marocaine est caractérisée selon elle « par des combinaisons d'épices et d'herbes qui doivent mijoter». Pour cette raison, elle estime que l'évolution de cette cuisine n'est pas toujours «positive». Elle regrette la prolifération de la bouffe-minute, qui nuit à la transmission de la cuisine familiale, et rejette aussi les adeptes d'une nouvelle façon de cuisiner. «La cocotte-minute, ce n'est pas pour la cuisine marocaine», dit-elle.
Elle vilipende également les auteurs de recettes marocaines qui proposent par exemple le couscous au caviar - comme notamment Fatéma Hal, anthropologue, propriétaire du plus célèbre restaurant marocain à Paris, le Mansouria, et auteure d'une dizaine de livres de cuisine marocaine.
Savoir prendre et donner
Fatéma Hal était pour sa part au salon du livre de Casablanca en même temps que La Presse. Elle venait y présenter son dernier né, Tajines et couscous, publié chez Hachette. Fatéma Hal se défend de faire la promotion de la nouvelle cuisine marocaine.
«Je me situe plus dans l'urgence de conserver une certaine tradition culinaire, dit-elle. Il faut écouter les vieilles femmes marocaines. Il y a des secrets de famille. La cuisine des pauvres est aussi très intéressante. Mais la cuisine marocaine a toujours évolué. Elle n'est pas figée.»
Fatéma Hal estime que la cuisine marocaine «a toujours su prendre et donner». «Ce qui est nouveau aujourd'hui deviendra traditionnel dans 20 ans», ajoute-t-elle.
«La feuille de la pastilla venait de Chine. Le foie gras n'est pas d'origine française mais égyptienne. Rien n'appartient à personne. Il faut préserver mais aussi évoluer. Pensez-vous que les chefs français Rebuchon et Ducasse seraient où ils sont aujourd'hui s'ils s'étaient contentés de préparer des cassoulets ? Le couscous au caviar est un clin d'oeil pour dire qu'on peut faire beaucoup de bonnes choses avec de la semoule. Il faut se projeter dans l'avenir.»
Fatéma Hal comprend que nos expériences culinaires dans les restaurants marocains de Casablanca, de Marrakech et d'Essaouira n'aient pas atteint le réel plaisir de manger en famille des plats mijotés par des cuisinières aguerries.
Elle estime que cette dichotomie entre la bonne cuisine familiale et la cuisine de restaurant est un problème au Maroc. «Il n'y a pas encore de grands chefs et de grands restaurants marocains, dit-elle. On est dans une situation où la transmission de la cuisine de mère en fille ne se fait plus beaucoup car les filles travaillent, notamment, et vont à l'école. Il faut que la cuisine évolue, avec plus de formation professionnelle. Il y a une bonne école d'hôtellerie à Rabat. Ce n'est pas assez. Mais ça viendra. Le pays est en train de changer depuis une dizaine d'années.»

Source : Eric Clément pour http://www.cyberpresse.ca



samedi 20 mars 2010

Recette de patisserie marocaine : les sablés fondants

Ingrédients:
(1 verre = 250 ml)
- 250 g de beurre
- 1/2 verre de sucre semoule ou glace
- 1/2 verre de maïzena

- 1 oeuf
- 1 C C de levure chimique
- 1 C C de vanille.
- Farine pour sécher
- Confiture ou nutella
- Sucre glace pour décorer

 Préparation:
- Mélanger le beurre et le sucre, le travailler en pommade, ajouter l'œuf et la maïzena, bien mélanger.
- Ajouter la levure et vanille, sécher avec la farine jusqu'à avoir une pâte homogène.
- Mettre au frigo pendant 15 minutes puis partager en 3 boules, aplatir chacune et couper a l'emporte pièces.
- Faire cuire a 180°, surveiller de près la cuisson, il faut qu'ils gardent une couleur blanche (cuire 12 a 15 min pas plus).